Nous les femmes

Pour commencer je tire chapeau à Farouk Zahi pour sa défense de la condition des femmes dans son article 'les femmes autrement vues" consacré aux agressions de toutes sortes. Heureusement que les hommes ne sont pas tous pareils ce n’est qu’une infime partie qui se complait dans ce rôle de maître suprême!! Et pourtant la femme algérienne a de quoi être fière, du début de la révolution elle a été la première à prendre les armes et se tenir aux premiers rangs pour défendre son pays, ensuite durant les années noires elle a su se tenir debout et n’a jamais baissé les bras quoiqu’il arrive. La femme algérienne est et restera un exemple et ce qu’elle subit et continue de subir est indigne.
Kachina j’ai beaucoup apprécié le texte dédié à la mère et son enfant, encore une fois, le courage des femmes et mères est plein de mérite. (Inna el djanatou tahta akhdam el oumahat).
Mohamed les photos que tu nous poste sont sublimes c’est un véritable trésor que tu détiens, tu mérites tous les bravos pour ton implication – mais il y a une chose que je voulais te demander - ou est donc passé le maitre de l’âne qui sillonne les petites ruelles, aurait-il reçu un coup de sabots, car on ne le voit pas!!

Salam à tous
Le sujet de la femme est toujours matière à discussion ou chacun essaie de nous convaincre de son point de vue. Où est la différence ? Est elle importante au point de penser que l’homme et la femme sont deux êtres différents. L’être humain est unique si je comprends bien. Ce n’est pas la différence biologique ou anatomique qui les rend supérieurs ou inférieurs devant le créateur. Dieu a doté chacun d’eux d’atouts et de fonctions complémentaires faits pour perpétuer la race humaine et coexister dans la sérénité et la paix Que chacun accepte sa condition dans le respect mutuel et l’amour qui sied pour chacun.

Jamila ta question est pertinente, je n’ai pas pensé du tout. Qu’est ce que j’ai ri et avec kachina c’est le fou rire. On se rencontre souvent sur Skype et dhiab nous a aussi rejoint. Pour le maître tout simplement une odeur piquante de chakhchoukha dans les parages excita ses papilles gustatives et le poussa à s’inviter dans la maison d’où se dégageait la bonne odeur en oubliant totalement son âne. Il faut lui pardonner parce qu’il est difficile de résister quand on est juste à côté.